C’est le riz. Dans beaucoup de pays du monde, sur les terres de l’Asie, d’Orient et de l’Afrique, le riz constitue l’élément fondamental de l’alimentation quotidienne. Le goût du riz varie selon l’endroit où il est cultivé, comme du savoir-faire de son cuisinier. La diversité de sa consommation est telle qu’il existe mille et une façons de le préparer.

Le Mexique, si aujourd’hui la vanille est cultivée et produite principalement à Madagascar, l’Ile de la Réunion et Tahiti, elle bien originaire du Mexique ! De la famille des orchidées, la douce vanille était originellement utilisée par les Aztèques et rapidement adoptée par les Occidentaux via les espagnols pour aromatiser le chocolat puis toutes sortes de douceurs. Sa culture a été affinée, notamment grâce à la mise au point de la fertilisation manuelle de la fleur.

Le quatre-épices, appelé piment de la Jamaïque (pimenta dioïca) est la véritable épice native des Antilles. Son parfum combine les arômes du clou de girofle, de la muscade, de la cannelle et du poivre. Il s’agit bien d’une plante à part entière et non d’un mélange d’épices comme son surnom pourrait le faire croire.

Le « ras el hanout » signifie littéralement en arabe « la tête de l’épicerie » car ce mélange est souvent le produit phare des épiceries nord-africaines. Il est vendu moulu ou à l’état brut. Composé et dosé suivant la science et la fantaisie du vendeur, son prix peut alors varier du simple au double selon les ingrédients employés. C’est également l’épice reine de l’Aïd el-Kebir, utilisée dans les couscous et tajines.

C’est le safran (Crocus sativus), originaire d’Orient et cultivé en Europe, en Iran, au Cachemire et au Maroc. Cette plante vivace est connue depuis la plus haute Antiquité et posséderait des vertus médicinales pour soigner le foie et aphrodisiaques. Son prix a toujours été élevé : mieux vaut l’acheter chez un épicier de confiance sous peine de se retrouver avec une épice falsifiée ! Les précieux stigmates du crocus sativus sont alors remplacés par des pétales de fleur de souci, d’arnica ou de Carthame mais la saveur subtile du safran est incomparable !

Oui, la cuisine africaine est savoureuse et extrêmement digeste .Personnellement j’adore les plats nationaux   Guinéens, camerounais, ivoiriens, sénégalais, marocains, etc…

Le boboti est un plat sud-africain à base de viande hachée épicée, gratinée au four avec une garniture à base d’œuf et de pain imbibé de lait.

Le thiep bou dien (se prononce « tiéboudienne » thiep = riz, bou = au, dieune = poisson) c’est du riz au poisson avec des légumes.

La ‘vraie soupe de poisson’ est provençale bien que considérée comme une appellation générique désignant tous les potages, généralement épais, réalisés à partir de divers animaux marins comestibles.

Le kinkeliba (Combretum micranthum) fait partie de la grande famille des combrétacées, qui forme le fond arbustif et arboré des forêts de savane. Le kinkeliba prend la forme d’un arbrisseau touffu pouvant atteindre 4 ou 5 mètres, quelquefois réuni en buisson, dont l’extrémité des branches est volubile. Le kinkeliba pousse dans les pays du Sahel – Sénégal, Mali, Niger, Burkina Faso, Guinée – où ses feuilles séchées sont consommées en tisane.